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SONGE.
[1]
C’ Estoit alors que le prefent des Dieux
Plus doulcement s’ écoule aux yeux de l’home,
Faisant noyer dedans l’ oubly du somme
Tout le soucy du jour laborieux,
Quand un Demon apparut à mes yeux
Dessus le bord du grand fleuve de Rome,
Qui m’ appelant de nom dont je me nomme,
Me commanda regarder vers les cieux:
Puis m’ escria, Voy (dit-il) & contemple
Tout ce qui est compris sous ce grand temple,
Voy comme tout n’ est rien que vanité.
Lors cognoissant la mondaine inconstance,
Puis que Dieu seul au temps fait resistence,
N’ espere rien qu’ en la diuinité.
[2]
Sur la croppe d’ un mont je vis une Fabrique
De cent brasses de hault. Cent columnes d’ un rond
Toutes de diamant ornoient le brave front:
Et la façon de l’ oeuvre estoit à la Dorique.
La muraille n’ estoit de marbre ny de brique,
Mais d’ un luisant crystal, qui du sommet au fond
Elançoit mille rayz de son ventre profond
Sur cent degrez dorez du plus fin or d’ Afrique.
D’or estoit le lambriz, & le sommet encor
Reluisoit escaillé de grandes lames d’ or:
Le paué fut de jaspe, & d’ esmeraulde fine.
Ovanité du monde! un soudain tremblement
Faisant crouler du mont la plus basse racine,
Renversa ce beau lieu depuis le fondement.
[3]
Puis m’ apparut une Poincte aguisee
D’un diamant de dix piedz en carré,
Asa hauteur iustement mesuré,
Tant qu’ un archer pourroit prendre uisee.
Sur ceste Poincte une urne fut posee
De ce metal sur tous plus honnoré:
Et reposoit en ce uase doré
D’ un grand Caesar la cendre composee.
Aux quatre coings estoient couchez encor
Pour pedestal quatre grands lyons d’ or,
Digne tumbeau d’ une si digne cendre.
Las rien ne dure au monde que torment!
Je uy du ciel la tempeste descendre,
Et fouldroyer ce braue monument.
[4]
Jeuy hault eslevé sur columnes d’ ivoire,
Dont les bases estoient du plus riche metal,
Achapiteaux d’ albastre, & frizes de crystal,
Le double front d’ un arc dressé pour la memoire.
A chaque face estoit protraicte une victoire,
Portant aelles au doz, avec habit Nymphal,
Et hault assise y fut sur un char triomphal
Des Empereurs Romains la plus antique gloire.
L’ouvrage ne monstroit un artifice humain,
Mais sembloit estre fait de celle propre main
Qui forge en aguisant la paternelle fouldre.
Las je ne veulx plus voir rien de beau sous les cieux,
Puis qu’ un oeuvre si beau j’ ay veu devant mes yeux,
D’ une soudaine cheute estre reduict en pouldre.
[5]
Et puis je uy l’ Arbre Dodonien
Sur sept costaux espandre son umbrage,
Et les vainqueurs ornez de son fueillage
Dessus le bord du fleuve Ausonien.
Là fut dressé maint trophee ancien,
Mainte despouille, et maint beau tesmoignage
De la grandeur de ce brave lignage
Qui descendit du sang Dardanien.
J’ estois ravy de voir chose si rare,
Quand de paisans une troppe barbare
Vint oultrager l’ honneur de ces rameaux.
J’ ouy le tronc gemir sous la congnee,
Et vy depuis la souche desdaignee
Se reverdir en deux arbres iumeaux.
[6]
Une Louve je vy sous l’ antre d’ un rocher
Allaictant deux bessons. Je vis à sa mamelle
Mignardement joüer ceste couple jumelle,
Et d’ un col allongé la Louve les lecher.
Je la vy hors de là sa pasture chercher,
Et courant par les champs, d’ une fureur nouvelle
Ensanglanter la dent & la patte cruelle
Sur les menus troppeaux pour sa soif estancher.
Je uy mille veneurs descendre des montagnes,
Qui bornent d’ un costé les Lombardes campagnes,
Et uy de cent espieux luy donner dans le flanc.
Je la vy de son long sur la plaine estendue
Poussant mille sanglotz, se veautrer en son sang,
Et dessus un vieux tronc la despouille pendue.
[7]
Je uy l’ Oyseau, qui le Soleil contemple,
D’ un foible vol au ciel s’ avanturer,
Et peu à peu ses aelles asseurer,
Suivant encor le maternel exemple.
Je le vy croistre, & d’ un voler plus ample
Des plus hauts monts la hauteur mesurer,
Percer la nuë, &ses aelles tirer
Jusques au lieu, où des Dieux est le temple.
Là se perdit. Puis soudain je l’ ay veu
Rouant par l’ air en tourbillon de feu,
Tout enflammé sur la plaine descendre.
Je vy son corps en poudre tout reduit,
Et vy l’ oyseau, qui la lumiere fuit,
Comme un vermet renaistre de sa cendre.
[8]
Je vis un fier Torrent, dont les flots escumeux
Rongeoient les fondemens d’ une uieille ruine:
Je le vy tout couvert d’ une obscure bruine,
Qui s’ eslevoit par l’ air en tourbillons fumeux:
Dont se formoit un corps à sept chefz merveilleux,
Qui villes et chasteaux couvoit sous sa poittrine,
Et sembloit devorer d’ une egale rapine
Les plus doulx animaux, & les plus orgueilleux.
J’ estois esmerveillé de voir ce monstre enorme
Changer en cent façons son effroyable forme,
Lors que je vy sortir d’ un antre Scythien
Ce vent impetueux, qui soufle la froidure,
Dissiper ces nuaux, & en si peu que rien
S’ esvanouïr par l’ air ceste horrible figure.
[9]
Tout effroyé de ce monstre nocturne,
Je vis un Corps hydeusement nerveux,
Alongue barbe, à longflottans cheveux,
Afront ridé, & face de Saturne:
Qui s’ accoudant sur le ventre d’ une urne,
Versoit une eau, dont le cours fluctueux
Alloit baignant tout ce bord sinueux,
Où le Troyen combattit contre Turne.
Dessous ses piedz une Louve allaictoit
Deux enfançons: sa main dextre portoit
L’ arbre de paix, l’ autre la palme forte:
Son chef estoit couronné de laurier:
Adonc luy cheut la palme, & l’ oliuier,
Et du laurier la branche deuint morte.
[10]
Sur la rive d’ un fleuve une Nymphe esploree
Croisant les bras au ciel avec mille sanglotz
Accordoit ceste plainte au murmure des flotz,
Oultrageant son beau teinct, & sa tresse doree:
Las où est maintenant ceste face honoree,
Où est ceste grandeur, & cet antique los,
Où tout l’ heur et l’ honneur du monde fut enclos,
Quand des hommes j’ estois, & des Dieux adoree?
N’ estoit-ce pas assez que le discord mutin
M’ eut fait de tout le monde un publique butin,
Si cet Hydre nouveau digne de cent Hercules,
Foisonnant en sept chefz de vices monstrueux
Ne m’ engendroit encor à ces bords tortueux
Tant de cruelz Nerons, & tant de Caligules?
[11]
Dessus un mont une Flamme allumee
A triple pointe ondoyoit vers les cieux,
Qui de l’ encens d’ un cedre precieux
Parfumoit l’ air d’ une odeur embasmee:
D’ un blanc oyseau l’ aelle bien emplumee
Sembloit voler jusqu’ au sejour des Dieux,
Et dégoisant un chant melodieux
Montoit au ciel avecques la fumee:
De ce beau feu les rayons escartez,
Lançoient par tout mille & mille clartez,
Quand le degout d’ une pluie doree
Le vint esteindre. O triste changement!
Ce qui sentoit si bon premierement,
Fut corrompu d’ une odeur sulphuree.
[12]
Je vy sourdre d’ un roc une vive Fonteine,
Claire comme crystal aux rayons du soleil,
Et jaunissant au fond d’ un sablon tout pareil
A celuy que Pactol’ roule parmy la plaine.
Là sembloit que nature & l’ art eussent pris peine
D’ assembler en un lieu tous les plaisirs de l’ oeil:
Et là s’ oyoit un bruit incitant au sommeil,
De cent accords plus doulx que ceulx d’ une Sirene.
Les sieges & relaiz luisoient d’ ivoire blanc,
Et cent Nymphes autour se tenoient flanc à flanc,
Quand des monts plus prochains de Faunes une suyte
En effroyables criz sur le lieu s’ assembla,
Qui de ses villains piedz la belle onde troubla,
Mist les sieges par terre, & les Nymphes en fuyte.
[13]
Plus riche assez que ne se monstroit celle
Qui apparut au triste Florentin,
Jettant ma veüe au rivage Latin
Je vy de loing surgir une Nasselle:
Mais tout soudain la tempeste cruelle,
Portant envie à si riche butin,
Vint assaillir d’ un Aquilon mutin
La belle Nef des autres la plus belle.
Finablement l’ orage impetueux
Fit abysmer d’ un gouphre tortueux
La grand’ richesse à nulle autre seconde.
Je vy sous l’ eau perdre le beau thresor,
La belle Nef, & les Nochers encor,
Puis vy la Nef se ressourdre sur l’ onde.
[14]
Ayant tant de malheurs gemy profondement,
Je vis une Cité quasi semblable à celle
Que vit le messager de la bonne nouvelle,
Mhais basty sur le sable estoit son fondement.
Il sembloit que son chef touchast au firmament,
Et sa forme n’ estoit moins superbe que belle:
Digne, s’ il en fut onc, digne d’ estre immortelle,
Si rien dessous le ciel se fondoit fermement.
J’ estois esmerveillé de voir si bel ouvrage,
Quand du costé du Nort vint le cruel orage,
Qui souflant la fureur de son coeur despité
Sur tout ce qui s’ oppose encontre sa venüe,
Renversa sur le champ, d’ une pouldreuse nüe,
Les foibles fondemens de la grande Cité.
[15]
Finablement sur le poinct que Morphee
Plus veritable apparoit à noz yeux,
Fasché de voir l’ inconstance des cieux,
Je voy venir la soeur du grand Typhee:
Qui bravement d’ un morion coeffee
En majesté sembloit egale aux Dieux,
Et sur le bord d’ un fleuve audacieux
De tout le monde erigeoit un trophee.
Cent Roys vaincuz gemissoient à ses piedz,
Les bras aux doz honteusement liez:
Lors effroyé de voir telle merveille,
Le ciel encor je luy voy guerroyer,
Puis tout à coup je la voy fouldroyer,
Et du grand bruit en sursault je m’ esveille.
JOACH. DVBELLAY ANG.
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Off: And all the world in their subiection held, Till that infernall feend with foule vprore (FQ I.i.5.6-7) On: And all the world in their subjection held, Till that infernall feend with foule uprore

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Most lothsom, filthie, foule, and full of vile disdaine (FQ I.i.14.9) 14.9. Most lothsom] this edn.; Mostlothsom 1590

(The text of 1590 reads Mostlothsom, while the editors’ emendation reads Most lothsom.)

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And shall thee well rewarde to shew the place, (FQ I.i.31.5) 5. thee] 1590; you 15961609

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To my long approoved and singular good frende, Master G.H. (Letters I.1) 1. long aprooved: tried and true, found trustworthy over a long period
v2024-04-20_15:09